Brr... la température chute de jour en jour, ainsi que la durée de la journée. Il fait environ 8 degré, l'air est bien humide, un temps à rester chez soi au chaud devant la TV avec un thé vert ou un chocolat bien fumant. Mais il faut plus que ça pour arrêter un amateur de la course à pied !
Lors de l'automne et l'hiver dernier, je me disais qu'il faut vraiment être fou et dingue pour aller courir en rond dans un stade ou dehors lorsqu'il fait tout noir, humide et froid. Et maintenant je suis devenu ce dingue (les dingues me paraissent moins dingues; est-ce parce que j'en suis un? :). Est-ce le manque de dopamine qui nous pousse à aller courir ? Ou l'envie de progresser, de devenir plus fort qui nous pousse à mettre un short? Pour moi c'est l'envie d'être de plus en plus fort qui me pousse à aller courir.
Pour rappel, la séance seuil permet de s'habituer ses muscles à supporter l'acide lactique et la douleur.
Pour aujourd'hui je décide d'effectuer 3 séries de 9 tours de 365,5m => 3 x 3289,5 (quand on est scientifique chaque centimètre compte !)
1ère série 14'32" => 4'25"/km, moy : 173 puls/min, max : 178 puls. Je me sens super bien, j'ai une superbe aisance à dérouler mes foulées. Je ne ressens pas le froid et l'humidité. Mon allure est plus rapide que mon premier test de Cooper (2500 m en 12 min). Savoir qu'on a progressé fait du bien à l'ego et recharge la réserve de motivation.
2ème série 14'35" => 4'26"/km, moy : 175 puls/min, max : 178 puls. Je fournis plus d'effort pour une même allure. Je ressens la fatigue de ma première série, je suis moins à l'aise, on commence à se battre avec son mental pour maintenir sa cadence. On a impression que le temps passe moins vite. Cependant les bourrasques de vent froid fait du bien aux jambes.
3ème série 14'18" => 4'21"/km, moy : 174 puls/min, max : 180 puls. J'ai vraiment souffert lors de la dernière série, dès le premier tour je fais le décompte ! Mon coeur est ok mais mes jambes me font mal, je lutte vraiment contre mon physique pour maintenir l'effort. J'ai impression que le stade a changé de taille, chaque tour paraît long. Mon corps a envie d'arrêter mais mon mental me pousse à continuer. Chaque tour effectué était une bataille de gagné pour le mental. Au final mon mental est sorti vainqueur et s'est encore renforcé.
Le froid ne m'a pas dutout gêné, au contraire cela fait du bien aux jambes. Je pense que la course à pied à la longue permet de mieux supporter le froid.
Lors de l'automne et l'hiver dernier, je me disais qu'il faut vraiment être fou et dingue pour aller courir en rond dans un stade ou dehors lorsqu'il fait tout noir, humide et froid. Et maintenant je suis devenu ce dingue (les dingues me paraissent moins dingues; est-ce parce que j'en suis un? :). Est-ce le manque de dopamine qui nous pousse à aller courir ? Ou l'envie de progresser, de devenir plus fort qui nous pousse à mettre un short? Pour moi c'est l'envie d'être de plus en plus fort qui me pousse à aller courir.
Pour rappel, la séance seuil permet de s'habituer ses muscles à supporter l'acide lactique et la douleur.
Pour aujourd'hui je décide d'effectuer 3 séries de 9 tours de 365,5m => 3 x 3289,5 (quand on est scientifique chaque centimètre compte !)
1ère série 14'32" => 4'25"/km, moy : 173 puls/min, max : 178 puls. Je me sens super bien, j'ai une superbe aisance à dérouler mes foulées. Je ne ressens pas le froid et l'humidité. Mon allure est plus rapide que mon premier test de Cooper (2500 m en 12 min). Savoir qu'on a progressé fait du bien à l'ego et recharge la réserve de motivation.
2ème série 14'35" => 4'26"/km, moy : 175 puls/min, max : 178 puls. Je fournis plus d'effort pour une même allure. Je ressens la fatigue de ma première série, je suis moins à l'aise, on commence à se battre avec son mental pour maintenir sa cadence. On a impression que le temps passe moins vite. Cependant les bourrasques de vent froid fait du bien aux jambes.
3ème série 14'18" => 4'21"/km, moy : 174 puls/min, max : 180 puls. J'ai vraiment souffert lors de la dernière série, dès le premier tour je fais le décompte ! Mon coeur est ok mais mes jambes me font mal, je lutte vraiment contre mon physique pour maintenir l'effort. J'ai impression que le stade a changé de taille, chaque tour paraît long. Mon corps a envie d'arrêter mais mon mental me pousse à continuer. Chaque tour effectué était une bataille de gagné pour le mental. Au final mon mental est sorti vainqueur et s'est encore renforcé.
Le froid ne m'a pas dutout gêné, au contraire cela fait du bien aux jambes. Je pense que la course à pied à la longue permet de mieux supporter le froid.
2 commentaires:
Ça c'est tout à fait vrai, le froid c'est bon pour la course à pied. A Barcelonne on n'a pas encore la chance... 22ºC.
:-))
Allez, Karatekoud!
Cependant je trouve qu'il est plus agréable de courir en short et en débardeur avec quelques rayons de soleil qu'avec un collant, deux couches de vêtements et un temps pluvieux. Vous avez de la chance à Barcelone :). De tout façon l'être humain est rarement content de ce qu'il a :).
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