Deux jours de repos pour bien récupérer après les 16 km de Paris-Versailles (j'avais des courbatures le lendemain) je me remets à l'entrainement. Il reste environ 6 mois d'entrainement avant le marathon de Paris, cela fait une demi année quand même, j'ai encore le temps de progresser, mais on peut prendre dans l'autre sens également: il reste 6 mois à tenir. S'entrainer seul est dur, mais cela fait parti aussi de mon défi.
L'automne s'est définitivement installé dans le paysage de Paris, les feuilles commencent à envahir la route, le stade, à chaque coup de vent les feuilles s'envolent avec un bruissement, les arbres jaunissent, le ciel est menaçant et changeant, le vent est glacial, l'air est humide, le soleil se cache, la nuit tombe vite, tout cela a un impact considérable sur notre émotion, humeur. Il faut aller puiser dans notre réserve de motivation pour aller courir.
Avec ce temps pluvieux, sombre et glacial, je n'avais pas trop envie d'aller m'entrainer aujourd'hui mais après quelques tours d'échauffement, j'étais à nouveau in, gonflé à bloc.
Avant la séance VMA, je décide de faire le test de 2000 m pour voir si j'ai progressé dernièrement. Je déteste ce test, c'est une torture ! Mais il faut s'y coller si on veut mesurer sa progression. Je démarre le premier tour à fond et j'essaie de maintenir la cadence ,après le 2ème tour je commence à souffrir, au 3ème j'en pouvais plus (il ne reste que 2 tour et demi, je vais pas abandonner), au 4ème je souffre le martyr, mon rythme cardiaque est à 188 puls/min, ma respiration est dure (plus qu'un tour à tenir, et me disais aussi que je pouvais abandonner), je serre les dents pour terminer et j'atteins 192 puls/min au final.
J'ai effectué 2000 m en 7'25" ! J'ai amélioré mon temps de 9" ! LE réconfort après l'effort !
Ma progression au 2000 m (test de potentiel)
Après cette torture, j'ai effectué deux séries de 10 x 30/30. Je commence à mieux comprendre l'exercice. Avant de commencer ma série, je fais monter ma fréquence cardiaque puis je démarre par la phase rapide, je ralentis moins dans les phases lentes pour maintenir mon rythme cardiaque. Ce type de travail permet de faire fonctionner le cœur à plein régime sans trop fatiguer ses muscles afin de tenir une longue durée, le fractionné est axé sur le travail du coeur.
1ère série 10 min : moy : 180 puls/min - max : 184 puls
2ème série 10 min : moy : 178 puls/min - max :182 puls
J'ai diminué un peu lors de la deuxième série, les jambes sont moins bien et je n'ai pas de partenaires pour me pousser à aller plus loin. La prochaine fois je vais augmenter les répétitions, surement 12 au lieu de 10. Autre phénomène étrange mon cœur accélère durant les 10 premières secondes de la phase lente.
Je termine ma séance par un petit footing tranquille, je me sentais bien, j'avais impression que je pouvais courir encore des heures et des heures sans problème(mais ma femme m'attend pour diner), je parie que c'est la dopamine qui donne cette sensation de bien-être.
Durant mes entrainements, j'essaie de temps en temps le "forefoot running" qui est plus confortable mais pour instant, j'ai impression de consommer plus d'énergie.
Avec ce temps pluvieux, sombre et glacial, je n'avais pas trop envie d'aller m'entrainer aujourd'hui mais après quelques tours d'échauffement, j'étais à nouveau in, gonflé à bloc.
Avant la séance VMA, je décide de faire le test de 2000 m pour voir si j'ai progressé dernièrement. Je déteste ce test, c'est une torture ! Mais il faut s'y coller si on veut mesurer sa progression. Je démarre le premier tour à fond et j'essaie de maintenir la cadence ,après le 2ème tour je commence à souffrir, au 3ème j'en pouvais plus (il ne reste que 2 tour et demi, je vais pas abandonner), au 4ème je souffre le martyr, mon rythme cardiaque est à 188 puls/min, ma respiration est dure (plus qu'un tour à tenir, et me disais aussi que je pouvais abandonner), je serre les dents pour terminer et j'atteins 192 puls/min au final.
J'ai effectué 2000 m en 7'25" ! J'ai amélioré mon temps de 9" ! LE réconfort après l'effort !
Ma progression au 2000 m (test de potentiel)
Après cette torture, j'ai effectué deux séries de 10 x 30/30. Je commence à mieux comprendre l'exercice. Avant de commencer ma série, je fais monter ma fréquence cardiaque puis je démarre par la phase rapide, je ralentis moins dans les phases lentes pour maintenir mon rythme cardiaque. Ce type de travail permet de faire fonctionner le cœur à plein régime sans trop fatiguer ses muscles afin de tenir une longue durée, le fractionné est axé sur le travail du coeur.
1ère série 10 min : moy : 180 puls/min - max : 184 puls
2ème série 10 min : moy : 178 puls/min - max :182 puls
J'ai diminué un peu lors de la deuxième série, les jambes sont moins bien et je n'ai pas de partenaires pour me pousser à aller plus loin. La prochaine fois je vais augmenter les répétitions, surement 12 au lieu de 10. Autre phénomène étrange mon cœur accélère durant les 10 premières secondes de la phase lente.
Je termine ma séance par un petit footing tranquille, je me sentais bien, j'avais impression que je pouvais courir encore des heures et des heures sans problème(mais ma femme m'attend pour diner), je parie que c'est la dopamine qui donne cette sensation de bien-être.
Durant mes entrainements, j'essaie de temps en temps le "forefoot running" qui est plus confortable mais pour instant, j'ai impression de consommer plus d'énergie.
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